Alors que la ministre de la Justice a ouvert la porte à l’autorisation des téléphones portables en prison, plusieurs voix s’élèvent contre cette proposition. C’est notamment le cas de l’ancien maire Divers Gauche de Fleury-Mérogis David Derrouet, qui assure que « lors des différentes attaques terroristes, des pics d’appels ont eu lieu dans différents établissements pénitentiaires en France, en lien avec des djihadistes qui sont au sein des établissements ». « On renoncerait à installer des brouilleurs d’ondes modernes », s’est-il également plaint.
Bfm
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