Ce mercredi 17 janvier, vers 17h30 un détenu a pris en otage une surveillante de la prison de Grasse.
Alors qu’il refusait de réintégrer sa cellule, la surveillante est venue le chercher afin de l’accompagner. C’est à ce moment-là qu’il a sorti un couteau extrêmement tranchant, il a saisi la surveillante afin de l’entraîner dans la cellule.
Le forcené souhaite alors avoir des informations au sujet d’une fouille de cellule qu’il aurait “subi”.
20 minutes s’écoulent….La surveillante parviendra, en discutant avec le détenu à sortir de la cellule indemne physiquement.
Elle sera néanmoins extrêmement choquée.
Je vais pas me faire des amies , mais je pense que des surveillantes dans les Ă©tablissements hommes c’est une bĂŞtise
Les prisons sont des bombes Ă retardement… Et si vous allez sur le site web de Bercy pour lire le contenu de la loi de finances 2018… vous allez ĂŞtre déçus : le financement pour la “crĂ©ation de places supplĂ©mentaires” n’est pas assurĂ©. Alors, tenez bon et ne lâchez rien. Les citoyens de ce pays sont conscients de la situation. Notre site, tout rĂ©cent, d’information citoyenne et indĂ©pendante peut relayer vos messages. Dans notre rubrique “Tribune Libre” nous vous donnons la possibilitĂ© de vous y exprimer.
Si vous souhaitez nous faire parvenir un texte, vous avez notre adresse e-mail indiquée ci-après.
Nous sommes bĂ©nĂ©voles et… indĂ©pendants.
Bon courage.
Elisa R.
Les prisons sont des bombes Ă retardement… Et si vous allez sur le site web de Bercy pour lire le contenu de la loi de finances 2018… vous allez ĂŞtre déçus : le financement pour la “crĂ©ation de places supplĂ©mentaires” n’est pas assurĂ©. Alors, tenez bon et ne lâchez rien. Les citoyens de ce pays sont conscients de la situation. Notre site, tout rĂ©cent, d’information citoyenne et indĂ©pendante peut relayer vos messages. Dans notre rubrique “Tribune Libre” nous vous donnons la possibilitĂ© de vous y exprimer.
Si vous souhaitez nous faire parvenir un texte, vous avez notre adresse e-mail indiquée ci-après.
Nous sommes bĂ©nĂ©voles et… indĂ©pendants.
Bon courage.
Elisa R.
Je ne sais pas où l ont. Vas mais c est sur que c est droit dans le mur. Il faut faire comme aux États-Unis. Là bas ils rigolent pas. Mais laissons. Les faire. Bientôt. Le sang va coulé. Dans les prisons. Ils auront encore raison. Non. Contre le mur et une belle balle. Entre les deux yeux. Pas de pitié.