Est ce que un syndicat a signé ? ??
Je ne crois pas donc pas de conclusion balle au centre et on rejoue la partie les collègues n’ont pas déposé les clefs pour accepter ce torchon d’une ministre qui ne connaît pas le métier
Il faut revoir le titre ! !!^^^
mon avis de « flic retraité ». du vent ces propositions bidons.Rien de concret à effet immédiat en plus.ils cherchent le pourrissement du conflit.
J’ai honte pour ma profession. Avancer en ordre dispersé au ministère, c’est donner une bien piètre image de l’institution. Quelques mesures à prise d’effet immédiate. A bon entendeur…
1/ Sécurité:
-Abrogation immédiate de l’article 57: tolérer de ne plus fouiller les détenus, c’est inciter au trafic.
-Armer les agents de « tous les établissements » selon les besoins dans le cadre des interventions (taser, gazeuse, bâton télescopique) et équiper « toutes les cellules disciplinaires » d’un passe-plat pour menottage et de cellules béton: chaque établissement connaît son lot d’agression même les plus petits.
-« Application du projet de construction des nouvelles prisons » et donc du label RPE qui préconise l’encellulement individuel et proposition de nouvelles perspectives de sanctions pénales: car accepter 100 euros de prime, c’est tolérer la surpopulation pénale…
– Arriver directement sur son lieu de travail: comment demander aux agents d’être vigilent en cette période de terrorisme par l’intermédiaire de note de service et de voir les personnels, dans certains cas, se garer à plusieurs kilomètres de leur lieu de travail, voir payer un stationnement: les détenus ne sortent-ils jamais ponctuellement des prisons et ne connaissent-ils pas le personnel ?
2/Economie:
-Changement de statut, passage de la catégorie C à B = assermentation = crédibilité dans l’intervention et l’écrit (car la parole du surveillant ne suffit plus apparemment) = variété des missions dans l’emploi = meilleure rémunération = attractivité = recrutement.
-« Défiscalisation des heures supplémentaires »: les mesurette à coup de dizaines d’euros n’intéressent personne si c’est pour le redistribuer au trésor public.
-« Recrutement massif »: 1100 emplois, c’est à peine 3 promos qui ne remplaceront ni les départs en retraite, ni les démissions et encore moins les postes aménagés ou fictifs au détriment des équipes de détention (« faisant fonction »par exemple…).
3/Ergonomie:
-Prise en charge et possibilité de réaffectation des surveillants gravement touchés lors d’une agression vers un autre service ou une autre fonction dans l’administration pénitentiaire sans impact sur l’organigramme de référence (écoute téléphonique, UVF, postes aménagés…etc…).
-Refonte des services des agents (législation, pénibilité du travail…etc…) et du fonctionnement interne des prisons selon les établissements qui le souhaitent par les principaux acteurs, les surveillants.
Ce n’est pas le ministère, ni les D.I, ni les directions locales qui font la détention mais les agents de terrain.
SDNS
Je suis d’accord avec toi Marcel, on gagne quasiment rien, la ministre nous prend pour des moins que rien!! Cet accord de doit pas être signé, et la lutte des surveillants doit continuer.
c’ est une blague ! le compte n’ y est pas, encore une fois on se fout de nous, la pénitentiaire du 21eme siecle c’ est une police pénitentiaire ratachée au ministere de l’ intérieur de plein droit avec une dimension sécuritaire et disciplinaire autrement plus importante que ce torche cul.
Est ce que un syndicat a signé ? ??
Je ne crois pas donc pas de conclusion balle au centre et on rejoue la partie les collègues n’ont pas déposé les clefs pour accepter ce torchon d’une ministre qui ne connaît pas le métier
Il faut revoir le titre ! !!^^^
mon avis de « flic retraité ». du vent ces propositions bidons.Rien de concret à effet immédiat en plus.ils cherchent le pourrissement du conflit.
J’ai honte pour ma profession. Avancer en ordre dispersé au ministère, c’est donner une bien piètre image de l’institution. Quelques mesures à prise d’effet immédiate. A bon entendeur…
1/ Sécurité:
-Abrogation immédiate de l’article 57: tolérer de ne plus fouiller les détenus, c’est inciter au trafic.
-Armer les agents de « tous les établissements » selon les besoins dans le cadre des interventions (taser, gazeuse, bâton télescopique) et équiper « toutes les cellules disciplinaires » d’un passe-plat pour menottage et de cellules béton: chaque établissement connaît son lot d’agression même les plus petits.
-« Application du projet de construction des nouvelles prisons » et donc du label RPE qui préconise l’encellulement individuel et proposition de nouvelles perspectives de sanctions pénales: car accepter 100 euros de prime, c’est tolérer la surpopulation pénale…
– Arriver directement sur son lieu de travail: comment demander aux agents d’être vigilent en cette période de terrorisme par l’intermédiaire de note de service et de voir les personnels, dans certains cas, se garer à plusieurs kilomètres de leur lieu de travail, voir payer un stationnement: les détenus ne sortent-ils jamais ponctuellement des prisons et ne connaissent-ils pas le personnel ?
2/Economie:
-Changement de statut, passage de la catégorie C à B = assermentation = crédibilité dans l’intervention et l’écrit (car la parole du surveillant ne suffit plus apparemment) = variété des missions dans l’emploi = meilleure rémunération = attractivité = recrutement.
-« Défiscalisation des heures supplémentaires »: les mesurette à coup de dizaines d’euros n’intéressent personne si c’est pour le redistribuer au trésor public.
-« Recrutement massif »: 1100 emplois, c’est à peine 3 promos qui ne remplaceront ni les départs en retraite, ni les démissions et encore moins les postes aménagés ou fictifs au détriment des équipes de détention (« faisant fonction »par exemple…).
3/Ergonomie:
-Prise en charge et possibilité de réaffectation des surveillants gravement touchés lors d’une agression vers un autre service ou une autre fonction dans l’administration pénitentiaire sans impact sur l’organigramme de référence (écoute téléphonique, UVF, postes aménagés…etc…).
-Refonte des services des agents (législation, pénibilité du travail…etc…) et du fonctionnement interne des prisons selon les établissements qui le souhaitent par les principaux acteurs, les surveillants.
Ce n’est pas le ministère, ni les D.I, ni les directions locales qui font la détention mais les agents de terrain.
SDNS
Je suis d’accord avec toi Marcel, on gagne quasiment rien, la ministre nous prend pour des moins que rien!! Cet accord de doit pas être signé, et la lutte des surveillants doit continuer.
c’ est une blague ! le compte n’ y est pas, encore une fois on se fout de nous, la pénitentiaire du 21eme siecle c’ est une police pénitentiaire ratachée au ministere de l’ intérieur de plein droit avec une dimension sécuritaire et disciplinaire autrement plus importante que ce torche cul.