Jonathan, 29 ans, quatre mentions au casier judiciaire, a cumulĂ© les actes insensĂ©s, ce 19 fĂ©vrier. Il est 1 h 40 quand il dĂ©cide de monter sur son scooter aprĂšs avoir bu au moins un whisky et un litre de rosĂ©. Ivre, il fait des embardĂ©es et grille un feu rouge de lâavenue de Paris.
Un Ă©quipage de police lâinterpelle : « Jâen ai rien Ă foutre, bande de baltringues. Mon pĂšre est au GIGN. »
Poursuivi pour rĂ©cidive de conduite en Ă©tat dâivresse, refus de se soumettre aux vĂ©rifications pour Ă©tablir son Ă©tat alcoolique, outrage Ă une personne dĂ©positaire de lâautoritĂ© publique, rĂ©bellion et pour le feu rouge grillĂ©, Jonathan nâa quâune dĂ©fense :
Ses larmes. « Quelle idĂ©e a bien pu vous passer par la tĂȘte ? » demande la prĂ©sidente du tribunal correctionnel. « Je nâen sais rienâŠÂ rĂ©pond-il. Dâhabitude, je ne suis pas violent, je coopĂšre avec les policiers. » Jonathan vient de passer la premiĂšre nuit de sa vie en prison. Et lâexpĂ©rience a visiblement portĂ©.
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LâĆil humide, le prĂ©venu supplie : « Je ne veux pas retourner en prison, câest trop dur. Jâai comprisâŠÂ » La suite ICI…
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