Emmanuel Macron se rendra mardi à l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire (Enap) d’Agen pour présenter un “plan global sur le sens et l’efficacité des peines”, point fort de la future loi de programmation de la justice
Après un conflit social très dur où les surveillants ont exprimé leurs difficultés à assurer leur mission, le président devrait préciser comment développer des peines alternatives à la détention, comme le bracelet électronique et les travaux d’intérêt général (TIG). Il devrait aussi détailler sa promesse de 15.000 places supplémentaires.
A Agen, le président sera accompagné de la garde des Sceaux Nicole Belloubet, Emmanuel Macron rencontrera des élèves surveillants, des conseillers d’insertion et de probation, des agents du corps d’élite de la pénitentiaire (ÉRIS), avant de prononcer un discours sur les grands traits de sa réforme.
Des actes vaudraient mieux que des annonces…
Sur la division statutaire qui a été voulu par L ‘ufap ?