Le lendemain de l’évasion spectaculaire d’un détenu fiché S pour radicalisation à Brest, Emmanuel Baudin, secrétaire général du syndicat National pénitentiaire Force Ouvrière dénonce des dysfonctionnements.
Le premier, le détenu a été informé la veille de son extraction médicale, lui laissant le temps de prévenir ses complices avec un des deux téléphones portables découverts dans sa cellule. La procédure habituelle est que l’on prévienne le détenu 10 à 15 minutes avant l’extraction.
Le deuxième, les moyens de contraintes. Auparavant, tous les détenus qui sortaient en extraction avaient des entraves, afin de les empêcher de courir. Mais au fil des années ces moyens disparaissent.
Ensuite, lors de l’évasion, les surveillants étaient équipés d’un sifflet et d’un gilet pare-balles…
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Le secrétaire général Force Ouvrière demande une vraie police pénitentiaire afin de mener à bien ce genre de missions.
Qui est la vieille qui l’a informé ? 😅
La Pénitentiaire n’a pas les moyens de ses ambitions !