Le 13 avril 2013 Redoine Faïd avait fait sauter cinq portes et pris en otage quatre surveillants à la maison d’arrêt de Lille sequedin avant de s’enfuir. L’évasion de dimanche fait rejaillir des souffrances psychologiques.
Interrogé par France 3, Benoît Normand, secrétaire local UFAP-UNSA à Sequedin explique « Forcément on les a contactés hier et on est en train de ressasser un traumatisme qu’ils ont vécu il y a cinq ans, avec déjà un procès difficile l’année dernière. »
« Je pense qu’ils n’avaient pas besoin de ça. Ils essayent de se reconstruire tant bien que mal parce que c’est aussi des souffrances psychologiques… (…) poursuit le délégué.