Selon Emmanuel Baudin, secrétaire général du syndicat Force Ouvrière, l’établissement de Grasse connaît un nombre de difficultés importantes.
Notamment les murs des cellules régulièrement abattus par les détenus ou encore des problèmes avec l’interphonie qui dure depuis quatre ans.
Il manque également 23 surveillants sur l’organigramme. Actuellement les heures supplémentaires fatiguent les agents et fragilisent la sécurité de la prison.
Tout l’établissement serait concerné par un vice de forme au niveau de la solidité des murs séparants les cellules. Par trois fois en moins de six mois, des détenus ont détruit les murs afin de passer de cellules en cellule pour frapper leurs victimes.
Le coût des travaux pourrait être élevé, mais le syndicaliste souhaite une réponse rapide de l’administration. Plus de détails sur Nice-Matin