Le personnel de la maison d’arrĂŞt de Gap s’inquiète de la surpopulation de leur Ă©tablissement.Â
Par le biais de leur syndicat, il dénonce la surpopulation de la prison. « Les personnels mais également les occupants souffrent et subissent de plein fouet le sureffectif qui ne cesse d’augmenter ». De deux, les détenus sont passés à quatre par cellule. Soit 2,2 m² par personne pour vivre, détaille la secrétaire locale du syndicat Force ouvrière Véronique Henny.
La syndicaliste déplore « On gère les conflits en permanence. On n’arrête pas de les changer de cellules pour éviter les rixes. Sauf qu’au bout d’un moment, il n’y a plus de solution ». Le Dauphiné