
Le directeur de la gendarmerie national a communiqué ce lundi 14 octobre sur les cas de radicalisations.
Richard Lizurey a annoncĂ© que depuis 2013, une vingtaine de gendarmes avaient Ă©tĂ© Ă©cartĂ©s pour soupçons de radicalisation. Le directeur de la gendarmerie explique Ă©galement qu’une quinzaine de personnes sont toujours surveillĂ©s.
Comme l’explique le GĂ©nĂ©ral Lizurey dans Ouest-France, « certains savent qu’ils sont surveillĂ©s, d’autres pas ».