
Un premier-surveillant de la maison d’arrĂŞt de Dijon a Ă©tĂ© violemment agressĂ© par un dĂ©tenu de la prison.
C’est lors du dĂ©part promenade au quartier arrivant de l’Ă©tablissement qu’un dĂ©tenu, connu pour ses troubles psychotiques, va assĂ©ner un violent coup de poing en plein visage du fonctionnaire. Les collègues de la victime vont immĂ©diatement maĂ®triser l’individu et le placer au quartier disciplinaire.
Comme l’explique les syndicats de la prison, « les personnels pĂ©nitentiaires n’ont pas Ă subir les consĂ©quences d’une gestion comptable qui dĂ©finit qu’une place en prison est plus Ă©conomique qu’une place en hĂ´pital psychiatrique ». Ils insistent sur la nĂ©cessitĂ© de placer chaque personne dĂ©tenue dans une unitĂ© adaptĂ©e Ă son profil pĂ©nal, psychiatrique et mĂŞme son potentiel de dangerositĂ©.