Il se plaignait pourtant de subir beaucoup de pressions et de menaces de mort après sa première vidéo ou on pouvait le voir en tenue légère en train de danser dans une église avec un ami. Il a pourtant récidivé.
Le jeune homme est retourné dans la même église pour présenter des “excuses” en ironisant une devant Jésus sur la croix tout en agitant ses fesses. La veille il était longuement revenu sur le cyber harcèlement dont il est victime depuis quelques jours et expliquait pourquoi il refusait de supprimer sa vidéo des réseaux sociaux.
Mis au courant, le diocèse de la capitale avait demandé la suppression des vidéos dans les 24 heures et se réserve le droit “d’explorer toutes les possibilités judiciaires permettant de faire cesser l’atteinte aux droits (de la paroisse)” car les lieux ont été filmés “sans autorisation“.
Benjamin Medig a confié qu’il ne regrettait pas sa vidéo et qu’il refusait de la supprimer : “Ce que j’ai voulu dire, c’est que je ne cautionne pas ce que fait l’Église : son homophobie, le fait que le mariage homosexuel ne soit pas accepté“, a-t-il confié au Parisien, précisant qu’il était “un peu alcoolisé” lors de la séquence.
🔵 Benjamin Ledig, qui avait twerké à l’église, a recommencé ses provocations. Il est retourné dans la même église et a « ironisé » ses excuses à travers une nouvelle vidéo qu’il a posté sur son compte TikTok. pic.twitter.com/bjiD0s8J7H
— Occidentis (@Occidentis1) February 21, 2022
De son côté, L’autre influenceur, Queen Paul, qui n’était pas sur le plateau, a quant à lui effacé les vidéos de ses réseaux sociaux et s’est excusé “auprès des catholiques” qu’il a “pu blesser“.